Après l' entrée en vigueur de la loi qu'il défend les citanens de fumer dans des endroits publics et fermés, au début de janvier passé, les cafés et les discothèques ont enregistré une réduction de 6 pour cent ce mois, face au même mois de 2007.
París. - Le nombre de personnes qui se présentent aux cafés et discothèques en France sont tombés plus de 20 pour cent dans les deux derniers mois, en relation à la même période de l'année passée, à la suite de la loi l'antitabac, selon un rapport aujourd'hui au journal local Le Figaro.
Cependant, l'évolution de cette tendance a été plus spectaculaire en février et ce qui va du mois de mars : un recul de 20 pour cent, aussi par rapport aux données de la même période de l'année passée, selon des chiffres de l'Union de Métiers et des Industries de l'Hôtellerie (UOIH).
Par des zones, la réduction de visites a fouillé plus fort dans les établissements frontaliers, puisque les fumeurs préfèrent - - croiser en effet la frontière pour pouvoir fumer dans les bars, a rapporté Il Figaro.
L'UOIH a confié cette semaine de pouvoir négocier avec le gouvernement français les mesures complémentaires promises pour empêcher une crise dans le secteur et même la faillite de quelques entreprises par les restrictions antitabac dans le pays.
Les restaurants sont maintenant les moins affectés par la loi, mais l'inquiétude commence à être palpable avec ces chiffres et devant la proximité du printemps, quand les convives cherchent les terrasses qui se convertissent en guerre entre des fumeurs et des non fumeurs.
París. - Le nombre de personnes qui se présentent aux cafés et discothèques en France sont tombés plus de 20 pour cent dans les deux derniers mois, en relation à la même période de l'année passée, à la suite de la loi l'antitabac, selon un rapport aujourd'hui au journal local Le Figaro.
Cependant, l'évolution de cette tendance a été plus spectaculaire en février et ce qui va du mois de mars : un recul de 20 pour cent, aussi par rapport aux données de la même période de l'année passée, selon des chiffres de l'Union de Métiers et des Industries de l'Hôtellerie (UOIH).
Par des zones, la réduction de visites a fouillé plus fort dans les établissements frontaliers, puisque les fumeurs préfèrent - - croiser en effet la frontière pour pouvoir fumer dans les bars, a rapporté Il Figaro.
L'UOIH a confié cette semaine de pouvoir négocier avec le gouvernement français les mesures complémentaires promises pour empêcher une crise dans le secteur et même la faillite de quelques entreprises par les restrictions antitabac dans le pays.
Les restaurants sont maintenant les moins affectés par la loi, mais l'inquiétude commence à être palpable avec ces chiffres et devant la proximité du printemps, quand les convives cherchent les terrasses qui se convertissent en guerre entre des fumeurs et des non fumeurs.
